Martine Alliot Miranda
Juin 2013
Tu as posé ta main
Sur mon cœur endormi
Et au petit matin,
Le corps endolori,
Tu m’as laissée sans vie,
Il n’y a que les nuages
Pour essuyer mes larmes,
Là où tu m’as laissée,
Je n’ai que mon passé,
Quelques éclats de foi,
Le silence qui s’accroche
Aux souvenirs de toi,
Et dans le cœur l’encoche
Que caresse mon doigt,
J’enroule autour de moi
Le ciel et ses étoiles,
La lune devient mon toit
Et je deviens vestale,
Je conserve le feu
Des souvenirs fanés,
Il en reste si peu
Que pour les préserver,
Son âme il faut damner,
Quand le silence répond
A mes cris vagabonds,
J’appelle tes murmures,
Mon unique parure,
En moi tu t’es blotti
Et quand tu es parti,
Tu n’as laissé ici
Qu’un vide à l’infini,
Pour remplir ma vie…
Le ciel et ses étoiles,
La lune devient mon toit
Et je deviens vestale,
Je conserve le feu
Des souvenirs fanés,
Il en reste si peu
Que pour les préserver,
Son âme il faut damner,
Quand le silence répond
A mes cris vagabonds,
J’appelle tes murmures,
Mon unique parure,
En moi tu t’es blotti
Et quand tu es parti,
Tu n’as laissé ici
Qu’un vide à l’infini,
Pour remplir ma vie…
Quand les lumières se fanent
Et que mes pas « tziganent »,
La diaphane membrane
Qu’est devenue mon âme,
Son ascension entame.
Et que mes pas « tziganent »,
La diaphane membrane
Qu’est devenue mon âme,
Son ascension entame.
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